La purée, c’est la vie!
Cette bonne vieille purée de pomme de terre écrasée à l’écrase patate, avec sa crème et son beurre!
Cette bonne purée faite maison, je n’en n’ai jamais trop.
Je n’y peux rien si mon enfance a été marquée par l’excellente purée de ma nourrice.
Purée- steak haché
Purée- foie de veau
Toujours achetés frais du matin, souvent les mercredis chez le boucher du village.
Une purée bien épaisse avec, de préférence, encore quelques morceaux mal écrasés.
En son centre, je creusais un petit volcan dans lequel ma nourrice versait le jus délicieusement salé de la viande.
Le petit bonheur de l’après-midi était d’avoir des restes de purée collés sur la joue. Tellement amusant à gratter!
Aujourd’hui, lorsque je prépare une purée, j’estime la quantité suffisante si je peux largement me resservir une assiette pleine et même en avoir pour un prochain repas.
C’était mon ode à la purée, un cri d’amour dédié à ma nourrice Georgette que nous appelions tendrement Tati.
Du vent dans les branches 
Je partage ce goût pour une bonne purée maison ( en rejetant sans remord le savon râpé en sachet métallisé qui n’est ni mousse, ni line …! ) Mais, loin de moi l’idée sacrilège de l’abandonner orpheline dans mon assiette : une belle entrecôte lui tiendra aimablement compagnie et le jus dégoulinant avec délice du gras grésillant dessinera ces petites rigoles brunes qui me font, déjà, saliver … !
J’aimeJ’aime